PITAGORAS est un outil didactique qui se concentre sur le calcul mental. Nous croyons que développer l’aptitude et par conséquent l’habitude de calculer mentalement aide non seulement quand vous avez besoin de calculer quelque chose, même à l’écrit, mais que cela aide de manière générale à se familiariser avec les nombres. Le calcul mental - conformément aux programmes d'enseignement - est donc utile aussi bien dans un environnement éducatif, par exemple pour vérifier un résultat si le calcul a été fait d’une autre manière ou pour estimer un ordre de grandeur, et dans la vie de tous les jours, pour toutes les occasions pour lesquelles le raisonnement quantitatif est nécessaire. PITAGORAS utilise la réalisation d’une “pyramide” comme principale technique. Nous expliquerons son fonctionnement en détail plus tard, pour l’heure il suffit de savoir que chaque brique contient un nombre et que l’on passe d’un niveau au niveau supérieur en effectuant une opération. Dans certaines circonstances, cette structure peut être plus amusante et plus riche que le calcul traditionnel, comme nous le verrons plus tard. Cela implique notamment l’idée d’opération inverse et elle peut être utile pour introduire le concept d’équation de manière implicite.
PITAGORAS est un outil didactique qui se concentre sur le calcul mental. Nous croyons que développer l’aptitude et par conséquent l’habitude de calculer mentalement aide non seulement quand vous avez besoin de calculer quelque chose, même à l’écrit, mais que cela aide de manière générale à se familiariser avec les nombres. Le calcul mental - conformément aux programmes d'enseignement - est donc utile aussi bien dans un environnement éducatif, par exemple pour vérifier un résultat si le calcul a été fait d’une autre manière ou pour estimer un ordre de grandeur, et dans la vie de tous les jours, pour toutes les occasions pour lesquelles le raisonnement quantitatif est nécessaire. PITAGORAS utilise la réalisation d’une “pyramide” comme principale technique. Nous expliquerons son fonctionnement en détail plus tard, pour l’heure il suffit de savoir que chaque brique contient un nombre et que l’on passe d’un niveau au niveau supérieur en effectuant une opération. Dans certaines circonstances, cette structure peut être plus amusante et plus riche que le calcul traditionnel, comme nous le verrons plus tard. Cela implique notamment l’idée d’opération inverse et elle peut être utile pour introduire le concept d’équation de manière implicite.

Pitagora de Samos

I racconti sulla vita di Pitagora sono un misto di leggenda e di realtà. Nulla è certo, perché non ha lasciato scritti, ma diverse informazioni sono state tramandate e ci sono pervenute attraverso i suoi discepoli, e alcuni scritti di Aristotele, Erodoto e Platone. Così sappiamo che visse nel 6° secolo a. C., che nacque in Grecia ma viaggiò molto, fra Asia Minore e Egitto (si narra che fu Talete a illustrargli le conoscenze matematiche dell’Oriente), prima di arrivare in Italia, a Crotone, dove fondò una Scuola, cioè una comunità scientifico-filosofico-religiosa i cui discepoli rispettavano determinate regole morali e si impegnavano a non divulgare le conoscenze filosofiche e matematiche che avevano appreso dal maestro Pitagora.
Tutti conoscono il Teorema di Pitagora, ma in realtà alla base della dottrina pitagorica non c’era la geometria ma l’aritmetica. Sull’aritmetica si fondavano le altre discipline da cui era composta la matematica: musica, geometria, astronomia. Il numero, infatti, era per Pitagora l’essenza di tutte le cose. La conoscenza delle proprietà dei numeri interi faceva parte di un percorso mistico. Assumevano importanza particolari rappresentazioni come quelle dei numeri triangolari o piramidali.
Sembra che la scuola pitagorica sia stata messa in crisi dalla scoperta dei numeri irrazionali, o meglio, dal fatto che il rapporto fra la diagonale e il lato di un quadrato non si potesse esprimere come rapporto fra numeri interi. Ma questa è un’altra storia...